Bois et forêts de Chartreuse : Citius, altius, fortius !

A l’image de Coubertin, l’industrie du bois reste dans la course … économique. « Oh oh les copains, c’était au 19ème siècle !. Aujourd’hui, nous ne pouvons ignorer ce que provoque nos actions pour rester dans la course au profit.
Cette machine qui abat le travail de 12 bucherons (à vérifier) me rappelle les flottes de pêche au thon de Sète. Pendant des années, les armateurs ont toujours amélioré les rendements en dépit des alertes des scientifiques « des gens de la ville, Môssieur, qui ont un salaire qui tombe tous les mois » pour un résultat connu aujourd’hui. Des réductions drastiques de la pêche pour favoriser la reproduction de l’espèce. Evidemment, je ne suis pas un spécialiste et il n’est pas question de montrer du doigt le seul bucheron qui conduit cette machine. Nous sommes « tous » responsables de cette situation, plus ou moins, il est vrai ! Achetons nous du bois de Chartreuse ? Acceptons nous de le payer plus cher du fait de la spécificité du massif ? Et pourtant , il nous faut engager des actions efficaces pour que de nous revenions à une exploitation raisonnée de la forêt, du jardinage, et permettre à celle ci de contribuer, le mot est faible, à l’équilibre de la vie sur terre .
Je vous propose en lien un article du BCG : La valeur stupéfiante de forêts et comment les sauver.   https://www.bcg.com/publications/2020/the-staggering-value-of-forests-and-how-to-save-them.aspx?linkId=90438978&redir=true